L'Impact a un nouveau stade, baptisé en grande pompe et surtout à grandes eaux.
Les mariages arrosés sont censés porter bonheur ; pour les baptêmes, cela semble moins évident.
En 3 matches dans son nouveau stade, l'Impact affiche un match nul, deux défaites et 0 but marqué.
La faute à pas de chance, comme le Canadien contre les Flyers. La preuve : contre les Timbers, l'Impact a effectué 22 tirs au but, dont pas moins de 7... cadrés ; pas pour rien qu'on s'appelle l'Impact.
C'est dans ces moments-là qu'on comprend à quel point le soccer (pardon, le football) reste un sport mineur au Québec : les jours de l'entraîneur, De Santis, ne semblent pas comptés.
Dans ces moments-là aussi qu'on regrette l'absence de sanction sportive à une mauvaise saison : un risque de relégation donnerait du piment à l'affaire.
(P.M.)
dimanche 1 juin 2008
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