Le sélectionneur d'une équipe défaite 4-1 pourrait avoir l'élégance, ou au moins l'honnêteté, de s'incliner devant la supériorité de l'adversaire et de le féliciter.
S'il s'appelle Domenech, il préfèrera hurler au "pénalty, pénalty..." (combien en aurait-il fallu pour que la France l'emporte?) et accuser préventivement son vainqueur de vouloir se laisser battre par la Roumanie pour condamner la France et l'Italie.
Il est au-dessus des forces d'un minable de concevoir que certains puissent l'être moins que lui.
(PM)
dimanche 15 juin 2008
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